Chirac se rapproche de la case "prison"

Tandis que les parlementaires réunis en Congrès, ont adopté, récemment, une série de révisions constitutionnelles dont une relative au statut pénal du président de la République, Jacques Chirac, encore (p)résident de la République est confronté à la résurgence de l'un des dossiers judiciaires dans lesquels il est visé. En effet, la Cour d'appel de Paris a donné son aval -contre l'avis du parquet- aux mises en examen pour « détournements de fonds publics » engagées contre les directeurs de cabinet successifs de Jacques Chirac, alors maire de Paris entre 1983 et 1995, Robert Pandraud, Daniel Naftalski et Michel Roussin.

Une décision qui a de quoi gâcher une sortie qu'il aimerait flamboyante ou du moins honorable. C'est oublier que les citoyens, non seulement sont vigilants, mais ont également de la mémoire et qu'un brillant discours n'éclipse jamais bien longtemps la réalité des actes. En l'occurence, en ce qui concerne Chirac, ce sont des notes de frais dits "de bouche" mirobolantes, des valises de billets pour payer des voyages extravagants, le détournement des fonds secrets de l'Elysée, la mort de Malik Oussékine en 1986.

Non, le 5e (p)résident de la Ve République ne jouira pas paisiblement de sa retraite politique ! Car s'il doit passer quelque part ses derniers jours de retraité, ce sera à l'ombre de la prison et non celle des cocotiers !

Comments

[Globul]

il ira surement se refugier chez son pote Robert Mugabe, le dictateur raciste (anti-blancs) du zimbabwe.