19 septembre 2004
Cauchemardesque ?
La situation interne au PS laisse perplexe. Le parti qui a fait la
campagne du "oui" au Traité de Maastricht, qui est à la base de toutes
les gandes avancées européennes est en train de se questionner
fortement sur son orientation politique. Les personnes qui ne sont pas
habituées aux débats politiques intenses doivent être troublées ou
rigolardes.
Pourtant, s'il y a un aspect positif à la chose, c'est bien le fait qu'en France, il n'y aura qu'un seul parti qui va consulter ses adhérents avant de délivrer sa position sur une question aussi fondamentale que la construction européenne et ce parti c'est le Parti socialiste.
A droite, ni l'UMP -qui pourtant est très tiraillée entre les europhobes du type Dupont-Aignan et les centristes mous version Méhaignerie-, ni l'UDF pas même les extrêmes ne vont le faire. D'un autre côté, il est certain tant au PCF, qu'à l'extrême-gauche, que chez les Verts, l'opinion n'est pas non plus monocolore.
Evidemment, il en résulte une très grande responsabilité de la part de tous les protagonistes de la consultation interne : celle de produire des arguments justes de façon respectueuse de l'autre.
En tant cas, s'il y a bien une question identitaire, c'est bien celle de l'appartenance et de la nature de l'Union. Pour ma part et bien que je considère le texte en-deçà de l'idéal fédéraliste et démocratique, il n'y a pas à tergiverser, ce sera "oui".
Pourtant, s'il y a un aspect positif à la chose, c'est bien le fait qu'en France, il n'y aura qu'un seul parti qui va consulter ses adhérents avant de délivrer sa position sur une question aussi fondamentale que la construction européenne et ce parti c'est le Parti socialiste.
A droite, ni l'UMP -qui pourtant est très tiraillée entre les europhobes du type Dupont-Aignan et les centristes mous version Méhaignerie-, ni l'UDF pas même les extrêmes ne vont le faire. D'un autre côté, il est certain tant au PCF, qu'à l'extrême-gauche, que chez les Verts, l'opinion n'est pas non plus monocolore.
Evidemment, il en résulte une très grande responsabilité de la part de tous les protagonistes de la consultation interne : celle de produire des arguments justes de façon respectueuse de l'autre.
En tant cas, s'il y a bien une question identitaire, c'est bien celle de l'appartenance et de la nature de l'Union. Pour ma part et bien que je considère le texte en-deçà de l'idéal fédéraliste et démocratique, il n'y a pas à tergiverser, ce sera "oui".
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