19 octobre 2004
La débandade de Rocco
Les nuages s'accumulent sérieusement au-dessus de la tête de Rocco
Buttiglione, l'encore Commissaire européen désigné à la Justice,
Liberté et Sécurité.
Lors d'une conférence de presse à Dublin hier, J. M. Barroso a en effet refusé de prendre sa défense -ce qu'il avait fait précédemment- et depuis laisse planer le doute sur un éventuel échange de portefeuille avec un autre Commissaire. Le nom de Jacques Barrot, Commissaire désigné aux Transports, a ainsi été évoqué.
Ce qui est sûr, c'est que c'est la première fois de l'Histoire de l'Union qu'un chef de gouvernement s'exprime contre un Commissaire désigné. En l'occurence, c'est Göran Persson, premier ministre suédois qui a demandé la tête de Rocco Buttiglione. Et toujours pas de reportage télé au 13h ou 20h ni pour faire un portrait du Commissaire désigné ou sur les motivations des groupes politiques qui s'apprêtent à voter contre l'investiture de la Commission.
Lors d'une conférence de presse à Dublin hier, J. M. Barroso a en effet refusé de prendre sa défense -ce qu'il avait fait précédemment- et depuis laisse planer le doute sur un éventuel échange de portefeuille avec un autre Commissaire. Le nom de Jacques Barrot, Commissaire désigné aux Transports, a ainsi été évoqué.
Ce qui est sûr, c'est que c'est la première fois de l'Histoire de l'Union qu'un chef de gouvernement s'exprime contre un Commissaire désigné. En l'occurence, c'est Göran Persson, premier ministre suédois qui a demandé la tête de Rocco Buttiglione. Et toujours pas de reportage télé au 13h ou 20h ni pour faire un portrait du Commissaire désigné ou sur les motivations des groupes politiques qui s'apprêtent à voter contre l'investiture de la Commission.
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