21 avril 2004
Jospin forever
Le désarroi des socialistes qui se réclament de Lionel JOSPIN ne doit avoir qu'un temps, celui de la réflexion sur l'analyse d'une défaite improbable et pourtant réelle. Défaite, on ne l'a peut-être pas suffisamment dit non pas d'un homme mais d'une stratégie d'éparpillement.
Alors, aujourd'hui, comme tous les prochains 21 avril dorénavant, on est triste. Pas pour nous, mais pour la France, pour ces 5 années gâchées et pour la politique réactionnaire que la droite met en oeuvre méthodiquement depuis ce jour affreux par un gouvernement qui suit les consignes d'un (P)résident de la République dont tout le monde sait qu'il est un escroc.Homme libre à la parole libre, Il ne nous reste de Lionel qu'une chose : la fidélité à une pensée et à une méthode. La pensée critique et la méthode du rassemblement.
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